L'équipe
Le développement du Financial Secrecy Index (indice d’opacité financière) est possible grâce à une équipe dévouée. Ici, nous présentons la liste des personnes qui ont étroitement contribué aux recherches et à la réalisation du Financial Secrecy Index édition 2020. En définitive, c’est l’ensemble de l’équipe de Tax Justice Network qui contribue à la recherche sur le Financial Secrecy Index. En outre, l’équipe du Financial Secrecy Index bénéficie du concours d’un grand nombre de chercheurs externes.
Markus Meinzer, coordinateur principal du Financial Secrecy Index 2020, est analyste senior et directeur de Tax Justice Network. Il est le chercheur principal du Financial Secrecy Index. Il possède un doctorat en économie de l’Université d’Utrecht, aux Pays-Bas. Dans le cadre de son travail doctoral, il a analysé la politique de l’OCDE destinée à contrer l’évasion fiscale et l’évitement fiscal transfrontaliers. Il est l’auteur du livre Tax Haven Germany (Steueroase Deutschland) publié en 2015 aux éditions C.H. Beck. Il était le chercheur principal au sein de Tax Justice Network pour le projet de recherche de l’Union Européenne Combatting Fiscal Fraud and Empowering Regulator (COFFERS, Horizon 2020), qui s’est achevé en janvier 2020. Il a étudié l'économie du développement en tant que composante de son diplôme en sciences politiques à l'Université libre de Berlin et a participé à un programme d’échange avec l'Université du Sussex au Royaume-Uni. Vous pouvez le contacter sur la page http://steuergerechtigkeit.blogspot.com et @markusmeinzer.
Moran Harari, coordinatrice adjointe du Financial Secrecy Index 2020, est chercheuse pour Tax Justice Network et également directrice de Tax Justice Network Israël situé auprès du College of Management Academic Studies à Rishon LeZion. Moran est titulaire d’une licence en droit de l'Université hébraïque de Jérusalem et d’une maîtrise en droit (spécialisation en droits de l’Homme) de l'University College London (UCL). Elle a travaillé pendant plusieurs années en tant que juriste fiscaliste à Tel-Aviv et dans le domaine de la responsabilité sociale des entreprises à Londres et en Israël.
Andres Knobel, coordinateur adjoint du Financial Secrecy Index 2020, est analyste senior au sein de Tax Justice Network. Il a étudié le droit à l'Université de Buenos Aires et a participé à un programme d’échange avec l'Université de Columbia à New York. Il a obtenu sa maîtrise en droit et économie à l’Université Di Tella, se concentrant sur le droit fiscal et les politiques publiques. Ses domaines d’expertise sont les bénéficiaires effectifs, l’échange automatique d’informations et le droit des trusts.
Michèle Andriamparany Davis est la chercheuse du Hub Afrique francophone de Tax Justice Network. Elle a sept ans d'expérience dans la recherche et l'analyse des politiques publiques sur l’Afrique francophone. Avant de rejoindre Tax Justice Network, elle a travaillé pendant quatre ans à Addis-Abeba, en Éthiopie, avec diverses organisations internationales (l'Union africaine, les Nations Unies et l'Organisation internationale de la Francophonie) sur un certain nombre de questions politiques panafricaines, y compris les flux financiers illicites. Auparavant, elle a travaillé dans la fonction publique de son pays natal, Madagascar, notamment en tant que diplomate au sein du ministère des Affaires étrangères et en tant que spécialiste de la lutte contre la corruption au Bureau Indépendant de lutte contre la corruption.
Mark Bou Mansour coordonne la communication et les campagnes de Tax Justice Network. Auparavant, il a travaillé comme directeur de la communication du Family and Childcare Trust et d’iguacu. Mark est titulaire d’une maîtrise en études sociales et politiques de l'Université du Sussex
John Christensen est économiste et auditeur judiciaire. Il est le président de Tax Justice Network, qu'il a cofondé. Il a exercé en tant que conseiller économique auprès du gouvernement de Jersey. En plus de son travail pour Tax Justice Network, il est membre du conseil d'administration de Tax Inspectors Without Borders @TIWB_news. Le Guardian l’a décrit comme « la figure de proue improbable d'une campagne mondiale contre l'évasion fiscale ». Ses recherches sur la finance offshore ont été largement publiées dans des livres et mises en lumière dans plusieurs documentaires.
Alex Cobham est économiste et directeur général de Tax Justice Network ainsi que commissaire de la Commission statutaire sur la pauvreté et les inégalités en Écosse. Il est également membre fondateur du groupe de pilotage de la Commission indépendante pour la réforme de la fiscalité internationale des entreprises et du groupe consultatif technique de Fair Tax Mark. Son travail se concentre sur les flux financiers illicites, une fiscalité efficace pour le développement et les inégalités. Il a été chercheur à l'Université d'Oxford, à Christian Aid, à Save the Children et au Center for Global Development, et a été consultant pour de nombreuses institutions, notamment le CNUCED, la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique, le Département du Développement International du gouvernement britannique et la Banque mondiale. Alex vient de publier deux livres: The Uncounted, aux éditions Polity Press et Estimating Illicit Financial Flows: A Critical Guide to the Data, Methodologies, and Findings (Estimer les flux financiers illicites: un guide critique des données, des méthodologies et des résultats) écrit avec Petr Janský, aux éditions Oxford University Press.
Maïmouna Diakité a travaillé en tant que chercheuse pour Tax Justivce Network en 2018 et 2019 à partir de Dakar, au Sénégal. Elle possède un doctorat en économie obtenu au Centre d’Etudes et de Recherches sur le Développement International (CERDI) de l’Université de Clermont Auvergne, en France, avec une spécialisation en politique fiscale et économétrie appliquée. Avant de rejoindre Tax Justice Network, elle a acquis une expertise dans le domaine de la mobilisation des recettes intérieures dans les pays en développement, notamment en matière d’harmonisation fiscale, d’efficacité des systèmes de TVA et de taxation des revenus des industries extractives, à la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine, à la Division de la Politique Fiscale du Fonds Monétaire International et plus récemment en tant qu’économiste consultant pour la Banque Mondiale.
Rachel Etter-Phoya est chercheuse pour Tax Justice Network. Son travail se concentre sur l'Afrique anglophone et elle est basée à Lilongwe, au Malawi, où elle a grandi. Rachel est titulaire d'un LLM en droit des ressources naturelles (Université de Dundee) et d'un MSc en développement rural (Royal Agricultural University). Auparavant, elle a travaillé avec l'organisation malawienne de défense des droits humains, Citizens for Justice et Revenue Development Foundation en mettant l'accent sur les industries extractives.
Javier Garcia-Bernardo est data scientist pour Tax Justice Network. Il a soutenu un doctorat portant sur l’«Évasion fiscale par les sociétés multinationales» au sein du groupe CORPNET de l'Université d'Amsterdam. Avant cela, il a accompli une maîtrise en informatique à l'Université du Vermont, avec spécialisation dans les systèmes complexes.
Verónica Grondona est économiste (Université de Buenos Aires) avec un diplôme de troisième cycle en finance (UTDT) et est actuellement dans un programme de doctorat en économie du développement (UNQ, Argentine). Après avoir travaillé en tant que conseiller sur les prix de transfert pour des sociétés multinationales allant de PwC à Transfer Pricing Associates basées à Buenos Aires, Madrid et Amsterdam entre 2002 et 2007, Verónica a rejoint le mouvement de la justice fiscale en 2013, initialement en tant que chercheuse pour le Centro de Economía y Finanzas para el Desarrollo de la Argentina (CEFID-AR), et de 2016 à 2019 en tant que conseiller du Groupe confédéral de la Gauche unitaire européenne / Gauche verte nordique (GUE / NGL) au Parlement européen dans le cadre de la Commission l'enquête des Panama Papers et la Commission spéciale sur la criminalité financière, l'évasion fiscale et l'évitement fiscal.
Layne Hofman est cheffe de projet pour le flux de travail sur l’opacité financière de Tax Justice Network. Layne a étudié les sciences politiques et les droits humains à l’Agnes Scott College en Géorgie, aux États-Unis. Elle possède de l'expérience en gestion de projets des ONG et en plaidoyer grâce à son travail antérieur consistant à effectuer des rapports sur la société civile pour l’Universal Periodic Review of the United States, ainsi qu'à son temps passé au sein de Population Services International à soutenir des programmes de santé publique et de marketing social en Amérique latine et dans les Caraïbes.
Shanna Lima est chercheuse au sein de Tax Justice Network dans le cadre du projet Financial Secrecy Index and Tax Advocacy in Latin America (FASTLA). Elle est titulaire d’une maîtrise en études du développement de l’Institute of Development Studies (IDS) de l’Université du Sussex et d’une maîtrise en économie de l’Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ). Avant de rejoindre Tax Justice Network, Shanna a travaillé pendant plusieurs années en tant que gestionnaire de compte à la Banque Brésilienne de Développement.
Lucas Millán est chercheur au sein de l’équipe du Financial Secrecy Index de Tax Justice Network. Il a étudié en France et aux États-Unis, où il a obtenu deux licences à l’Université Pierre et Marie Curie et à l’Université Panthéon-Assas, suivies d’une maîtrise à l’Université de Paris-Sorbonne et d’une maîtrise à l’Université de Boston. Son parcours académique l'a conduit des mathématiques combinés au droit aux relations internationales et enfin au droit fiscal et aux politiques fiscales. Au cours de ses études, Lucas s'est également familiarisé avec le langage de programmation R. En étroite collaboration avec d'autres membres de l'équipe de Tax Justice Network, il effectue des recherches sur les aspects techniques de l'évasion fiscale des entreprises, brisant le voile de la complexité juridique pour lutter contre les politiques fiscales dommageables promues dans le monde entier.
Miroslav Palanský est doctorant et chercheur à l'Institut d'Études Économiques de l’Université Charles de Prague, en République Tchèque ainsi que data scientist pour Tax Justice Network. Par ses recherches, il vise à contribuer à la lutte en cours contre la corruption, les abus fiscaux et l’opacité financière. Il est titulaire d'une maîtrise en économie de l'Université Charles et d’une maîtrise en économétrie de l'Université Aix-Marseille en France.
Neerali Gajjar est la stagiaire pour le Financial Secrecy Index. Neerali a travaillé dans le secteur des ONG / OBNL et pour des entreprises axées sur le numérique. Elle a vécu et travaillé en Corée du Sud. Elle a étudié à l'Université de Witwatersrand, où elle a obtenu une maîtrise en sciences politiques et à l'Université du Cap, en Afrique du Sud, où elle a obtenu une licence avec options relations internationales, philosophie ainsi que sciences politiques et économiques.